Tetsuya Akuma ~ Sanin de Kiri ~
Messages : 13 Date d'inscription : 03/09/2009 Age : 33
Feuille de personnage Expérience: (0/0)
| Sujet: Tetsuya Akuma Jeu 3 Sep - 21:49 | |
| Avez vous lu le règlement ? [ Vu par Gaara ]
Nom : Akuma
Prénom : Tetsuya
Âge : 25 ans
Village natal : Kumo
Village désiré : Kiri
Apparence physique : Tetsuya est un grand jeune homme du haut de ses 1 mètres 90. Sa musculature dépasse l'ordinaire et lui permet d'avoir une force physique extrême. Sa masse corporelle est assez bien répartit et lui permet d'être rapide et fort à la fois, ce qui est un petit avantage lors d'un combat contre plusieurs adversaires. Utile vous allez dire, mais pour une personne comme Tetsuya se n'est qu'un détail de plus qui agrandit la tristesse et le désespoir qui habite son coeur.
Ses yeux sont noir, mais peuvent prendre un reflet doré à la lueur du soleil. Un regard glaciale, sans émotions. Un regard vide comme le néant. Un regard qui n'exprime rien !
Ses cheveux son noir. Un coupe un peu dérisoir, mise en vrac tout comme l'esprit qui se trouve en dessous. Les mèches partent dans tout les sens et n'exprime rien. Mais le tout reste sobre et donne des petits airs de gamin à Tetsuya est un grand jeune homme du haut de ses 1 mètres 90. Sa musculature dépasse l'ordinaire et lui permet d'avoir une force physique extrême. Sa masse corporelle est assez bien répartit et lui permet d'être rapide et fort à la fois, ce qui est un petit avantage lors d'un combat contre plusieurs adversaires. Utile vous allez dire, mais pour une personne comme Tetsuya se n'est qu'un détail de plus qui agrandit la tristesse et le désespoir qui habite son coeur.
Son visage est un peu roser, mais plutôt tourner vers des teintures pâles. De petit yeux en son centre, un front parfaitement mesuré, un petit nez. S'était un visage d'ange caché sous une longue coupe, mais celui-ci parraissait toujours être figer tel un morceau de glace. Ils exprimes pourtant des émotions, mais celles-ci sont toujours très discrètes. Son corps est robuste, donc obtimal pour une catégorie offensive. Il est doter d'un don héréditaire hors du commun. Son corps est de ce faite très agile et à la fois robuste.
_Tenu vestimentaire: Tetsuya porte une tenue plus que monotone et sans vie, un ensemble exprimant son être intérieur, un ensemble noir comme une ombre. Il porte un t-shirt noir qui sert à son corps musclé. Celui-ci est caché sous une longue veste noire, aux reflets bleu foncés, qui monte du cou et descend jusqu'aux molets. Celle-ci à la particularité d'avoir des manches courtes. Il porte des gants en cuires noirs ainsi que des chaussures hautes de ninjas noir et fermer. Puis pour finir sa panoplis de "super héros", il porte aussi un pantalon noir.
Aspect moral : Vingts-cinq ans… Il n’y a pas de quoi se faire passer pour une personne plutôt ancienne, voulant faire croire qu’il a beaucoup d’expérience dans tous les domaines. Bien au contraire, il s’agit plutôt d’un âge ou l’on commence réellement à vivre, peu être à s’ouvrir vraiment aux autres et au monde. Mais bon, il ne faut pas mettre de coté le petit morceau de vie que l’on vient de vivre, l’enfance tout comme l’adolescence nous forge en temps qu’homme… D’une nature exceptionnellement calme, très loin d’aimer faire de beau discours, que se soit pour une occasion spécial, ou dans n’importe qu’elle autre circonstance. Il ne faut pas croire que sa ne lui arrive jamais, après tout, ce n’est pas parce que l’on n’aime pas parler et se montrer que l’on ne le fait pas. Non ce n’est pas vraiment par timidité, car il ne l’est pas, il n’a pas peur de prendre la parole quand il le faut, mais s’il est calme c’est parce qu’il n’aime pas prendre la parole pour rien. Pour lui les mots sont souvent, et la majeure partie du temps complètement inutile, comme il ne croit que se qu’il voit, il ne croit pas aux paroles sans actes. C’est un manque de confiance total envers les autres, pas vraiment envers lui-même, il n’aime pas les gens, ou du moins les autres. Ce qui fait de lui un être vivant souvent, et même plongé dans une certaine solitude, mais bon, il ne faut pas voir le mal partout. Cette solitude lui apporte finalement le plus grand bien, lui permettant de réfléchir, car il aime la réflexion, il n’est pas du genre, et en est même très loin, à être impulsif, à courir vers l’inconnue.
Enfin soit, même s’il est très calme, cela ne lui empêche pas de parler, et encore moins de s’énerver. Dans ce dernier cas, il est plutôt du genre implosif, c'est-à-dire à garder toute sa haine ou encore sa colère au fond de lui, afin de se venger de l’auteur de tout ceci. Car oui, il a également l’esprit vengeur, la vengeance envers les autres lui donne un bien fou, estimant qu’il ne faut pas faire aux autres ce que l’on ne voudrait pas que l’on nous fasse, il pense donc que chacun doit subir une vengeance, ceci encore n’est qu’une question de point de vue, changeant selon les gens et les physiologie. Son esprit de groupe ? On ne peut pas dire qu’il est un esprit de groupe, il est d’une nature solitaire, pas parce qu’il ne peut pas en être le contraire, mais par choix, pensant que de toute façon la compagnie des autres ne causerais que des ennuies, plus ou moins grave, mais des problèmes de toute façon.
Test RP : J'étais assis sur un rocher, en tailleur, les mains jointes et les yeux clos. Le soleil avait atteint l'apogée de sa trajectoire depuis peu et la chaleur ambiante grimpait en flèche. Les maigres nuages qui jusqu'alors avaient tâchés de préserver le monde de cette magnificence ne purent que s'incliner et lentement, se retirer.
Une fine goutte de sueur perlait sur mon front enceint de mèches opalines et iridescente. Indivisible elle ne semblait pas vouloir sans détacher, comme si elle ajournait à chaque fois la date fatidique ; futile puisque l'inévitable ne peut être évité, l'inexorable ne peut être exorable, l'infaillible ne peut être faillible de même que le sempiternel est déterminé par l'obligatoire ; toutes choses ont une fin et ce au mépris de tous nos efforts et nonobstant une volonté inébranlable et opiniâtre. Le bien-être est régi par l'éphémère, par le passager, par le temporaire alors que la plus-être est lui, tributaire de l'éternel.
*Qu'est-ce qui est le plus attirant ? Se contenter de la mortalité qui nous ait échue naturellement ou désirer accéder à l'apothéose, au sacre divin ? La fatalité est-elle une fatalité ? Une nécessité ? La Vie aurait-elle un sens similaire dans la continuité et dans la durabilité ? Garderait-elle un quelconque attrait dans cette perspective nouvelle où survivre est une tare ? Le plus-être est-il supérieur au bien-être ? *
J'inspirai profondément et expirai longuement, brisant la quiétude de l'instant.
« Inutile de vous cachez, je sais que vous êtes là. »
Des fourrés avoisinants jaillirent trois individus, enveloppés intégralement dans de longs manteaux noirs. Je ne pris pas la peine d'ouvrir les yeux, je savais à qui j'avais affaire. Je déglutis silencieusement. L'aura de mes trois interlocuteurs me mettait mal à l'aise. Ils possédaient une force spirituel titanesque et une quantité de chakra gargantuesque. Je me sentais chétif devant ces trois entités. Considérable, démesurée, babylonienne, herculéenne, monumentale, prométhéenne, incommensurable, comment une force aussi monstrueuse put être contenu en seulement trois corps ?
« Nous sommes venus chercher notre dû. -Je sais. Mais n'est-ce pas trop tôt ? -Tôt ou tard, qu'importe ? -Je sais. -Alors faîtes. Peu importe le lieu, c'est un fait Vous ne pouvez y échappé. Contentez vous de nous obéir et alors nous vous aiderons dans votre devenir. »
Je soupirai et ouvris les yeux, ils avaient raison, l'heure était venu pour moi d'accomplir ma part du marché. Nécessité fait loi comme eut dit mon père en pareil circonstance.
« Suivez nous »
J'acquiesçai, silencieux et sur le défensive. Même si j'avais déjà eus affaire à ces trois là, je ne savais pas de quoi ils étaient capable. Je ne savais même pas si ils étaient humain. Des énigmes voilà tout.
Après une longue heure de course folle à travers les bois, nous arrivâmes sur une falaise et, éreinté, je m'arrêtai à leur côté. Ils ne semblaient pas épuisés, ni même fatigués. Capuchons rabattus ils ne laissent entrevoir que leurs bouches et celles-ci n'émettaient aucun sons particulier, contrairement à la mienne qui cherchait désespérément à remplir mes poumons d'air.
« Nous y sommes. Voyez-vous ce village en contre-bas ? »
Je me penchai légèrement car même si la pente n'était pas abrupte, un crâne pouvait aisément se briser sur un des nombreux rochers qui la jonchaient. Encore une fois, j'acquiesçai.
« Bien, nous ne voulons aucun survivant. Comme à votre habitude, agissez discrètement. -Mmmm.. à vue d'oeil, je dirais que ça ne devrait pas me prendre plus d'un quart d'heure. Petit, je ne suis même pas sûr de rencontrer une quelconque résistance. -Méfiance est mère de sûreté. Nous viendrons vous chercher Une fois votre besogne effectuée. -Parfait. J'espère que c'est le dernier. -Nous vous avons offert une puissance inestimable Nous vous aiderons à vous en servir En retour il est normal d'obtenir Un dû proportionnellement équitable. -Soit, je m'en remets à votre jugement. -Sage décision. »
Sur ce ils s'éclipsèrent dans un nuage de fumée, me laissant seul avec mes idées. J'embrassai du regards la petite bourgade qui s'étendait à mes pieds et, las, soupirai.
*C'est le combientième ? Tss..je ne compte même plus. Saletés ! Jamais je n'aurais dû accepter ce marché. Si j'avais su. *
Si j'avais su, j'aurais tout de même accepter. Ma soif de pouvoir étant intarissable, ce n'est pas un soupçon d'humanité qui m'aurait arrêté. Je secouai la tête vigoureusement. Le passé est ce qu'il est et, contrairement au futur, ne peut être altéré. C'est le propre de l'homme ; s'adapter ! Je m'assis sur une souche d'arbre et déjà, plusieurs plan d'attaque s'offrirent à moi.
*Mmmm..visiblement, il n'y a pas de réelle défense. Cependant, je n'arrive pas à me défaire de leur conseil. ''Méfiance est mère de sûreté''. Satané chose, ils ne peuvent pas s'exprimer comme tout le monde ? Dans un langage compréhensible ? Bref, j'y suis habitué à présent. *
Je me levai prestement et composai une série de signe, ce qui aboutit à la création de cinq clones qui jaillirent du sol en une multitude de bulles d'eau.
« Nous attaquerons à la nuit tombée. Cela nous permettra d'une part de limiter les risques d'évasion et d'autre part, les villageois mourront dans leur sommeil ce qui peut être atténuera leur souffrance. Un peu d'humanité que diable ! Sur ce : DISPERSION !! »
Mes cinq répliques s'éclipsèrent pour atteindre chacun un point stratégique autour du village. Il me restait trois heures avant la tombée de la nuit, trois heure à tuées. Je me rassis sur la souche d'arbre, en tailleur et joignis mes mains. Mes yeux se fermèrent et dans cet état de méditation extrême, je pus jouir d'un moment de quiétude.
*Le calme avant la tempête.... le calme avant tempête....... *
Un loup hurla au loin, déchirant le silence particulièrement macabre de cette nuit-là. J'ouvris les yeux et me levai non sans nonchalance. Je rechignais à tuer des civils sans défense. Non pas que cela me répugnait, simplement, je considérais cet acte trop lâche et trop peu digne de ma magnificence. Hélas, je n'avais guère le choix.
*Au moins, j'ai élaborer une technique qui m'évitera les râles d'agonie des mourants, les cris de surprise, de haine et de peur, les implorations des quelques survivants qui, stupeur passé, se sont aperçus de la situation, la rage des mère lorsque je tus leurs enfants, le courage des pères à vouloir défendre leur famille, la froide résignation des plus lucides. *
Je secouai la tête, désolé et priai pour toutes les vies que j'ôtai de ma propre main.
*Suis-je l'amant de la mort pour ainsi distribuer son jugement ?*
Je secouai la tête et tâchai de me concentrer. Un de plus un de moins, au point où j'en étais. Mes mains se joignirent et lentement, je composai une longue série de signe. Un grondement sourd secoua la terre et soudain, une gigantesque vague se forma derrière moi. Elle s'élevait sur plusieurs dizaines de mètres de hauteurs et recouvrait de son ombre le petit village en contre-bas. Je soupirai une dernière fois mais, résigné, sautai en l'air et murmurai :
« Suiton, Bakushoha: Raz de Marée »
Aussitôt, cet immense tsunami s'abattit dans la vallée qui, par chance, formait une cuve car cernée de montagnes. Une seconde vague suivit, puis une troisième, une quatrième, une cinquième et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un lac pour le moins artificiel. Je me rendis rapidement en son centre, marchant sur l'eau aussi naturellement que possible. Je m'agenouillai et ma main droite vint se coller à la surface de l'eau. Je fermai les yeux et une seconde plus tard, parfaitement inexpressif et particulièrement froid je murmurai :
« Goshokuzame: Les 5 requins affamés »
Alors débuta le massacre. Je ne pouvais ni le voir ni l'entendre mais rien qu'en fermant les yeux je pouvais m'imaginer les gueules des requins, arrachant, déchiquetant, démembrant, ne faisant nul distinction entre enfant, homme ou vieillard. La noirceur de l'eau m'empêchait de les distinguer nettement mais je pouvais les deviner, tels les messagers de la mort. J'attendis encore cinq minutes, le regards fixe et vide d'expression : impassible. Puis, lorsque les premiers boyaux apparurent à la surface, lorsque les premiers bras émergèrent, lorsque plusieurs trainées rougeâtre filtrèrent ce bleu jusqu'alors homogène, je jugeai bon de m'en aller.
*Voilà. Mission accomplis. Une de plus. *
Je soupirai en posant le pied sur la berge et me retournai une dernière fois, scrutant l'eau sans but fixe.
*Est-ce cela le prix de le puissance ? Est-il proportionnel au nombre de mort ? *
Je ne savais mais à vrai dire, peu m'importait. Tout ce que je désirais c'était retrouver mon lit et après une bonne nuit de sommeil, passer à autre chose. Après tout, d'ici peu j'acquiérerais plus de savoir.
*Encore et encore, encore et toujours. Mon honneur est bafoué !*
|*| Vous |*|
Prénom : Florian
Âge : 18 ans
Autre: / | |
|